Le marché de la mode en France
La mode et l’élégance à la française sont reconnues dans la monde entier. Le secteur de la mode en France se porte bien et demeure un secteur économique important, aussi bien en termes d’emplois que de chiffre d’affaires.
La mode : un secteur économique important
D’après des chiffres fournis par l’Institut Français de la Mode, la filière de la mode a représenté en 2016 un chiffre d’affaires direct de 150 milliards d’euros. Le secteur génère également environ 1 million d’emplois. La Fashion Week, rendez annuel de tous les plus grands couturiers, a généré sur l’année 2016 1,2 milliards d’euros de retombées économiques et 10,3 milliards d’euros de transactions commerciales.
Les vêtements constituent la part la plus importante de ce chiffre d’affaire avec 67 milliards d’euros. Viennent ensuite les parfums et cosmétiques (44 milliards), la maroquinerie (22 milliards), l’optique (9 milliards) puis l’horlogerie et la bijouterie (8 milliards).
Le secteur de la mode est donc un secteur d’avenir qui offre des perspectives d’emplois nombreuses et intéressantes. L’école d’arts appliqués MJM Graphic Design propose plusieurs formations dans les métiers de la mode : Stylisme, modélisme, visuel merchandising… D’après l’avis des anciens étudiants, l’insertion professionnelle à l’issue de ces formations est simple.
2017 : une année marquée par la croissance
En 2017, le marché français a connu une augmentation de 0,2%. Une belle embellie si l’on considère la période difficile traversée par le secteur depuis la crise de 2008.
Cette croissance est liée en partie à l’amélioration du contexte économique, ainsi qu’à des conditions météo plus favorables à l’achat de vêtements. La progression est plus particulièrement marquée dans le domaine de l’habillage pour enfant (+3% à la fin du mois d’octobre 2017). La progression des ventes en ligne a également constitué un facteur de croissance important.
Selon l’Institut Français de la Mode, cette amélioration devrait se poursuivre en 2018, avec une hausse du marché français estimée à 0,4%.